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Quels sont les meilleurs aliments pour prendre du muscle?

Quels sont les meilleurs aliments pour prendre du muscle?

Comment développer sa masse musculaire? Quelle que soit votre motivation, ce souhait ne se résume pas à soulever des poids dans un club sportif! Car l’alimentation joue un rôle essentiel dans le processus de prise de muscle. Grâce à leurs nutriments, certains aliments peuvent vous aider à atteindre vos objectifs de musculation.

Tout savoir sur la carence en fer

Le fer est un élément important qui participe à diverses fonctions de l’organisme, dont le transport de l’oxygène dans le sang. Il s’obtient essentiellement via l’alimentation, mais les carences sont fréquentes, en particulier chez les femmes.

Le sélénium, un oligo-élément bon pour le cœur

Le sélénium est un oligo-élément antioxydant qui contribue au bon fonctionnement de l’organisme. Il est désormais scientifiquement reconnu qu’une alimentation riche en sélénium participe au maintien d’un cœur en bonne santé.

Syndrome du côlon irritable: tout ce que vous devez savoir

Le syndrome du côlon irritable est une affection particulièrement fréquente: elle touche environ 15% des adultes en Belgique. Les femmes sont deux fois plus affectées que les hommes et ce syndrome est surtout observé chez les jeunes (entre 20 et 40 ans). Les personnes souffrant d’anxiété ou régulièrement mises sous stress semblent également davantage à risque.1,2

Carence en vitamines en hiver ?

En hiver, lorsque les jours sont plus courts, les germes circulent davantage et notre organisme peut alors présenter des carences en certaines vitamines et autres minéraux. Nous pouvons notamment avoir besoin de vitamines D et C, de magnésium, de sélénium et de zinc supplémentaires.

Comment la vitamine C contribue-t-elle à notre immunité ?

La vitamine C, ou acide ascorbique, est un nutriment dont le corps a besoin pour de nombreux processus. Mais surtout, cette vitamine stimule le système immunitaire. Elle constitue un moyen naturel de renforcer l’organisme face aux agressions extérieures, notamment en automne et en hiver, lorsque les pathogènes circulent davantage.1,2